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La crise de la quarantaine et ses solutions

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Ça y est, c’est la crise de la quarantaine et rien ne va plus.

Vous ne voulez plus de cette vie suffocante et qui passe trop vite sans vous rendre heureux! Le temps est trop précieux et vous ne supportez pas de le gaspiller. Il y a tellement d’autres choses à faire. Vous pensez parfois à tout recommencer. Vous vous dites que vous aussi vous méritez une seconde chance.

Dans cet article vous trouverez:

  • La crise de la quarantaine, les symptômes classiques
  • La crise de la quarantaine n’est pas une obligation
  • La crise de la quarantaine, c’est quoi?
  • Qu’est-ce qui cause la crise de la quarantaine?
  • Comment se traduit la crise de la quarantaine?
  • Comment sortir d’une crise de la quarantaine? (Inclus, la validation triangulaire).

 

Le plus souvent lorsqu’on parle de la crise de la quarantaine, on ne parle que de ses symptômes. C’est un bon début mais les symptômes ne sont que la partie visible de l’iceberg. Juste ce qu’il faut pour se dire: « Wow, y’à un truc là! ». Juste parler des symptômes n’aidera pas celui qui vit actuellement une crise de la quarantaine à s’en sortir.

 

Pour régler le problème, il faut en comprendre la cause racine. C’est tout l’objet de cet article. A la fin de cette lecture, vous saurez d’où vient la crise de la quarantaine. Et surtout, vous aurez des outils aussi simples qu’efficaces à utiliser sans limite pour sortir grandi d’une crise de la quarantaine.

 

La crise de la quarantaine, les symptômes classiques

 

Ah c’est certain, la crise de la quarantaine a bon dos. Elle semble être devenue la fautive toute trouvée qui explique tous les bouleversements qui peuvent survenir dans votre vie si vous tournez de près ou de loin autour des 40 ans.

 

En réalité, la crise de la quarantaine est mal comprise et il m’apparaît important de vous donner quelques références pour savoir si vous ne vous trompez pas dans votre (auto)diagnostic. Vous n’en n’aurez le coeur net qu’à la fin de votre lecture mais voilà déjà de quoi vous aider.

 

Quelques cas typiques:

  • Vous pensez à aller voir ailleurs car l’ennui et la différence se sont installés dans votre couple
  • Vous voulez vous remettre à la guitare et former le groupe dont vous rêviez plus jeune au point que cela en devient obsédant
  • Un(e) petit(e) jeune rencontré(e) au bureau vous met le feu dans la tête et vous mourrez d’envie de vous laisser aller au risque de perdre tout ce que vous avez construit dans votre vie
  • Vous occupez vos journées si précieuses à travailler pour ce job que vous supportez de moins en moins et qui ne vous apportera jamais l’épanouissement promis, alors vous rêvez de le plaquer pour autre chose
  • Vous rejetez le reflet du miroir et peut-être vous êtes-vous remis(e) à sortir le soir et même à fréquenter des milieux plus jeunes
  • Vous rêvez d’ailleurs, de liberté …

 

Ce ne sont là que quelques exemples qu’on entend souvent. Des symptômes courants. On les entend si souvent qu’on a fini par croire que c’est ça une crise de la quarantaine. Pourtant, ce ne sont que quelques symptômes.

 

Par contre, s’ils sont niés, il peuvent progressivement peser sur vous, de plus en plus lourdement et vous faire sombrer dans la déprime ou la dépression.

 

Ce qui devait être une remise en question devient alors une crise. La crise de la quarantaine.

 

La crise de la quarantaine n’est pas une obligation

Nous passons tous (sauf malheur) par  le cap des quarante bougies. Pour autant, nous ne sommes pas obligés de le vivre comme une crise. Heureusement.

 

Intéressons-nous au phénomène de la crise en elle-même:

Le dictionnaire LAROUSSE définit une crise comme une rupture d’équilibre, la manifestation violente d’un changement ou d’une pénurie. source: https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/crise/20526

Le Wiktionary parle de la crise comme d’un changement en bien ou en mal. source: https://fr.wiktionary.org/wiki/crise

 
En résumé, une crise est un moment de basculement qui rompt l’équilibre en place. 

Nous aimons tous instinctivement l’équilibre car il est confortable et rassurant. Mais l’équilibre parfait n’existe pas et dans la vie, nous sommes toujours en train de composer avec des changements qui tendent à nous déséquilibrer. Le plus souvent, cela ne pose pas de vrai problème. Du moins pas tant qu’on connait la recette pour revenir à l’équilibre.

 

Par contre, si on ne connait pas la recette ou qu’on ne comprend pas ce qui nous arrive, alors dans ce cas, la crise peut montrer tous ses talents dévastateurs.

 

Imaginez-vous en voiture roulant à fond sur un circuit connu. Vous attaquez un large virage pied au plancher et même si la force centrifuge tend à vous faire glisser dans votre siège, vous savez que vous avez toutes les chances de garder le contrôle et de passer la courbe sans trop d’encombres car vous connaissez le circuit et les limites de votre voiture.

 

Imaginez maintenant que vous ne connaissiez pas le circuit et que tout à coup alors que vous êtes toujours lancé(e) à pleine vapeur, la courbe se referme subitement pour finir dans un tournant en épingle à cheveux. Dans ce cas, vous n’aurez d’autre choix que de piler sur vos freins et les chances sont grandes pour que vous finissiez dans le décor.

 

En d’autre termes, au plus inattendu et violent est le tournant, au plus grandes sont vos chances de vous cracher.

 

Dans le cas d’une crise de la quarantaine, les symptômes ressentis sont inhabituels et au plus inattendues et violentes sont leur apparition, au plus grandes sont les chances que le changement d’équilibre qui s’opère amène à une crise dont les effets peuvent être dévastateurs.

 

A contrario, si les changements sont attendus et s’opèrent en douceur, on dira alors que la crise est bien gérée et une crise bien gérée est tout sauf désastreuse.

 

Il est tout à fait possible de vivre un basculement (une crise) important dans votre vie sans pour autant que cela ne vous mette en état de crise. Ce sont deux notions qui coexistent mais il est important d’en comprendre les différences.

 

La crise de la quarantaine, c’est quoi?

Les anglophones l’appellent la crise de milieu de vie. Cette appellation est plus proche du sens profond de la crise de la quarantaine puisqu’elle fait référence au temps qui passe. Nous y reviendrons plus loin.

La crise de la quarantaine fait partie de la famille des crises existentielles. On les confond souvent et c’est bien normal puisqu’elles surviennent souvent dans la même tranche d’âges. Toutes deux sont capables de nous plonger dans un état profond de crise qui nous incite à complètement chambouler notre vie. C’est pourquoi on les craint et on ne les aime pas. Pourtant, il est important d’apprendre à mieux connaître ces crises avant de les juger si durement.  

Lorsqu’une de ces crises se présente, il nous faut faire un choix. Le premier est de choisir de l’ignorer. C’est clairement le mauvais choix car dans ce cas, la crise se renforcera pour frapper encore plus fort le moment venu.

Le second choix, le bon, c’est d’accepter de se laisser porter par la crise et de vous faire confiance. Prenez le temps de mieux faire connaissance avec elle et vous comprendrez que si elle est bien gérée, la crise du milieu de vie est une passerelle bénéfique qui vous emmènera vers un autre vous. Un être plus heureux qui avance en paix sur le chemin de sa maturité et de son épanouissement.

Qu’est-ce qui cause la crise de la quarantaine?

Il peut y avoir de nombreux éléments déclencheurs mais les principaux sont ces deux-ci:

 

Le temps qui passe

Le temps et la vie qui s’écoulent font leur oeuvre sur nous. Au début on est trop occupé pour s’en soucier. La jeunesse nous appartient et la vieillesse…c’est pour les autres. Mais petit à petit, les signes du temps apparaissent de plus en plus clairement.

 

Les femmes se voient changer dans le miroir, sur la balance ou dans le regard des hommes. 

Le désir s’étiole. Le spectre de la ménopause approche. C’est aussi le rôle de maman qui colle à la peau et dont on voudrait pouvoir se sortir plus souvent pour revivre sa vie de femme.

 

Pour les hommes, c’est pareil mais cela se traduit parfois différemment. 

Les hommes vieillissent mais ils ont cette forme de chance car on dit d’eux qu’ils bonifient en vieillissant. Ceux qui ont de la chance surprennent parfois le regard de jeunes femmes que les tempes grisonnantes attirent. Ce sont alors autant d’émotions et de tentations à gérer. Pas évident lorsqu’on est en perte de confiance sur le plan physique et qu’à la maison, la passion a déserté le couple.

 

Les hommes aussi ont leur ménopause mais pour eux, on appelle ça l’andropause . Les hommes la redoutent et c’est bien normal puisqu’elle signe généralement la fin de leur vie sexuelle.

 

On ne parlait jamais de ce phénomène avant. Maintenant, on sait que l’andropause touche certains hommes à partir de 40 ans et on estime que 30% des quinquagénaires, et jusqu’à 50% des plus de 65 ans sont concernés.

 

Tous ces signes du temps qui passe nous rappellent que notre jeunesse est derrière nous et que nous avons déjà « consommé » une part importante de notre vie.

 

La finitude de nos vies

Soyons clairs, ça ne fait plaisir à personne de parler de ces choses mais il ne faut pas se le cacher, nous ne vivrons pas éternellement.

Les grands-parents nous quittent et si ce n’est déjà le cas, nous savons que les parents suivront (le plus tard possible). Parfois, on connaît la perte d’un ami ou d’un collègue emporté par une maladie ou un accident. On peut soi-même être passé tout prêt. 

 

Tous ces événements nous rappellent que nous ne sommes pas éternels et ils éveillent en nous la peur ultime: La peur de mourir. C’est là le fondement de la crise de la quarantaine.

 

Comment se traduit la crise de la quarantaine?

 

De nos jours, on estime inconsciemment qu’à quarante ans, on en est plus ou moins à la moitié de notre vie. C’est un moment particulier qui impose le bilan.

 

Le temps qui passe et la peur de la mort nous incitent à regarder en arrière et à porter sur notre passé un regard mélancolique. On se souvient de qui on voulait être et des rêves non réalisés. Le temps devient alors de plus en plus précieux et on se rappelle le conseil de nos anciens: « Profitez de la vie mes enfants. Tant que vous le pouvez ».

 

Alors doucement, on se met la pression. Plus question de perdre du temps! C’est le moment critique du basculement, de la crise. On se rebelle, on cherche pourquoi on n’est pas heureux comme on estime devoir l’être. Et même si on s’estimait heureux, cela n’est plus assez. Alors d’un coup, tous les défauts de notre vie nous paraissent insupportables.

 

Certains dépriment ne sachant que faire. D’autres se torturent. Ils sont remplis d’envies de changements et se retiennent par peur de l’inconnu ou par peur de faire du mal à leur entourage.

 

D’autres encore s’agitent dans tous les sens et explorent leurs envies en dépit des risques ou du mal que leur comportement peut faire autour d’eux.

 

Est-ce un jugement? Pas du tout. On fait tous ce que l’on peut pour vivre au mieux avec les moyens que l’on a. Mais existe-t’il une bonne façon de sortir de la crise?

 

 

Comment sortir d’une crise de la quarantaine?

C’est évident, si vous êtes concerné par la crise de la quarantaine, votre priorité est d’en sortir. Pour cela, ce qu’il est essentiel de bien comprendre, c’est qu’il faut dissocier l’état de crise de la crise elle-même.

Il s’agit de deux chantiers différents sur lesquels vous aurez à travailler.

 
Chantier 1: Sortez de l’état de crise. 

C’est le plus urgent. Vous devez quitter cet état de crise car c’est lui qui occasionne les symptômes dont vous souffrez dans l’immédiat et qui tend à vous faire faire n’importe quoi. Vous devez ramener du calme et de l’équilibre dans votre vie pour prendre les bonnes décisions.

 
Chantier 2: Utilisez la crise de la quarantaine pour grandir.

Je m’explique. La crise de la quarantaine n’est pas mauvaise en soi. Rappelez-vous, c’est une mal comprise.

Quand la crise de la quarantaine apparaît, c’est que les conditions sont réunies dans votre vie et dans votre tête et que vous êtes prêt à passer à l’autre partie de votre vie. 

La crise vous impose les remises en question nécessaires à votre épanouissement. Il doit donc y avoir un avant et un après crise. Sortir de la crise ce n’est pas revenir à la situation d’avant. Il est crucial de comprendre cela. Rien dans la vie n’est parfaitement stable et destiné à ne jamais changer. Sauf, le principe même de la vie qui veut que tout soit en constante évolution. 

Voyons cela plus en détail.

Chantier 1: Sortir de l’état de crise

Nous venons d’en parler, Il doit y avoir un avant et un après. Vous allez devoir vivre des changements. C’est inévitable et vous n’avez d’autre choix que de l’accepter. C’est la première étape incontournable à franchir pour sortir de la crise de la quarantaine.

Phase 1: L’acceptation

Attention danger! Ceci ne doit pas être l’excuse attendue qui vous libère et vous autorise à quitter famille et boulot. Pas du tout.

L’acceptation a deux objectifs majeurs.

Le premier est pour ceux qui se torturent car ils sont rongés par les doutes et les envies de changer beaucoup de choses dans leur vie. Si vous êtes dans ce cas, alors acceptez le fait que ce que vous traversez est normal et sera bénéfique à terme pour vous. Calmez l’urgence qui est en vous. Les changements sont inévitables. Le tout est de changer les bonnes choses, pour les bonnes raisons et pas n’importe comment.

Le deuxième objectif est d’accepter la possibilité que les symptômes qui vous tenaillent ne sont que la partie visible de l’iceberg. Votre priorité doit être de bien comprendre votre situation et vos besoins réels avant de passer à l’action. Vous devez éviter de vous lancer trop rapidement dans des causes perdues qui vous feront encore perdre du temps.

Phase 2: Créez les conditions favorables

 
1. Comprenez ce qui vous arrive

C’est tout l’objet de la première partie de cet article. Que vous compreniez le fonctionnement et l’utilité de la crise de la quarantaine et que vous y trouviez une forme d’apaisement.

 

2. Donnez-vous du temps

Ne pensez-vous pas que la vie que vous avez construite jusque-là mérite que vous lui donniez sa chance? Quels dégâts inutiles risquez-vous de commettre si vous basez vos décisions de changement sur des symptômes, des envies qui ne résoudront rien?!

 

Touché par la crise, votre instinct vous dicte actuellement que le temps presse. Alors oui, attendre encore ne vous semble probablement pas être la chose à faire. Mais justement, le temps est trop précieux pour être gaspillé à être mal utilisé non?

 

Il faut donc geler provisoirement toutes vos envies de changements. Du moins jusqu’à ce que vous y voyez plus clair.

 
3. Informez votre entourage proche

Il n’est pas évident de parler de ce genre de choses. Pourtant c’est essentiel et vos proches le méritent. S’ils ne sont pas toujours les mieux placés pour vous aider, il leur est généralement facile de vous saboter dans vos démarches pour vous en sortir.

 

Ne leur parlez pas simplement de crise de la quarantaine car ils pourraient foncer tête baissée dans les raccourcis traditionnels qui n’amèneront rien de bon.

 

A votre conjoint(e), expliquez que vous ressentez le besoin de vous poser un peu et de prendre le temps de penser à ce que vous allez faire des quelques prochaines années. Veillez à ne pas lui faire peur inutilement. Soyez calme et aussi rassurant(e) que possible.

 

Si vous le pouvez, faites appel à vos anciens (parents, grands-parents, oncles et tantes, etc..). Demandez s’ils ont eux aussi traversé ce genre de phase et s’ils peuvent vous en parler. A nouveau, veillez à ne pas les paniquer. Montrez que vous gérez ça avec calme.

 

N’allez pas vers ceux qui sont dans la même situation que vous. Sauf cas particulier, ils ne vous apporteront pas de solution mais risqueraient plutôt d’ajouter du chaos.

 

 

Phase 3: La validation triangulaire

Si tout se passe bien, les phases 1 et 2 devraient suffire à calmer l’état de crise qui gronde en vous. Vous savez que des changements arrivent et vous êtes prêt.

Maintenant, il faut mettre la machine du changement en route et pour la démarrer, je vous propose de débuter par une méthode simple qui vous aidera à y voir plus clair.

La validation triangulaire

Voilà comment vous y prendre

 
Etape 1: Construire les trois listes:

Liste 1: Dressez la liste de toutes les envies de changement que vous avez. Celles réalisées récemment en réaction à votre crise de la quarantaine ainsi que celles auxquelles vous pensez sans être passé à l’acte.

Liste 2: Dressez la liste de ce que vous ne voulez plus dans votre vie. Il est souvent plus facile de prendre conscience de ce que l’on ne veut plus que de ce que l’on veut dans la vie.

Liste 3: Dressez la liste de ce qui vous manque dans votre vie selon vous pour être heureux et vous épanouir pleinement. Pour vous aider, vous pouvez vous référencer à cet autre article.

Ce n’est pas un travail facile. Il est normal que cela vous prenne des heures. L’essentiel est de faire ce travail sérieusement et le plus honnêtement possible. Je vous conseille même de vous y prendre à plusieurs fois, sur plusieurs jours.

 
Etape 2: La triangulation des envies

Une à une, prenez les envies de votre liste 1 et vérifiez si elles répondent directement à l’un ou l’autre point des listes 2 et 3. Si c’est le cas alors soulignez-la en vert. Si par contre une envie de la liste 1 ne répond à aucun point des deux autres listes alors vous devez le souligner en rouge.

Une fois l’exercice terminé, toutes vos envies sont soulignées soit en rouge, soit en vert.

Les envies vertes sont celles qui selon votre analyse de triangulation sont justifiées et utiles. Soit parce qu’elles suppriment de votre vie des éléments que vous ne souhaitez plus voir faire partie de votre vie. Soit, parce que vous attendez d’elles qu’elles comblent vos manques.

Les envies rouges par contre, sont les envies qui selon votre exercice de triangulation n’apporteront rien à votre vie. Elles ne vous allègeront pas des éléments de votre vie que vous souhaitez voir disparaître. Elles ne vous apporteront pas non plus de quoi combler vos manques. Elles ne vous donneront que des plaisirs passagers et vous écarteront de votre vrai chemin.

Etape 3: La triangulation des besoins

Vous reste-il des points de vos listes 2 et 3 pour lesquels aucune envie de votre liste 1 n’a de solution? Si oui alors vous voilà en possession de l’autre partie de votre plan pour être plus heureux et équilibré dans votre vie.

Mettez-vous en chasse de vraies solutions pour éliminer de votre vie ce dont vous ne voulez plus. Et trouvez aussi ce que vous devez changer dans votre vie pour être plus heureux en adressant vos manques.

Il est évident que cet exercice n’est pas suffisant pour résoudre tous vos problèmes. Un accompagnement complet et personnalisé donnera de meilleurs résultats et bien plus vite. Toutefois, c’est un excellent point de départ pour poser à plat votre situation et vous mettre sur le bon chemin.

 

Chantier 2: Utilisez la crise de la quarantaine pour grandir.

 

Vieillir est incontournable. Tout être vivant ou non vivant vieillit. Il ne sert à rien de lutter contre. On peut par contre tout mettre en oeuvre pour bien vieillir car il ne faut pas confondre rester jeune avec bien vieillir. Il est important d’être en paix avec cela. Nous devons tous apprendre à vieillir. Vous devez apprendre à vieillir.

 

Vieillir est une aventure en soi. L’âge enlève des choses et en donne d’autres. Bien des personnes connues ne l’ont été qu’après leur quarantième année. C’est le temps qu’il leur a fallu pour maturer suffisamment et pour être capable de sortir l’oeuvre qui les a fait connaître.

 

Bien-sûr on a tendance à vouloir regarder trop loin et à quarante ans déjà redouter les handicaps de nos quatre-vingt ans. Mais n’allons pas trop vite et faisons confiance à la vie et à sa capacité à nous montrer le chemin. Comme elle le fait pour vous en ce moment si vous souffrez d’une crise de la quarantaine.

 

La vie est une aventure qui se doit d’être épanouissante si elle est vécue pleinement. Alors oui le temps qui passe est important et devrait être utilisé à de bonnes fins. Mais sans panique et sans oublier de profiter pleinement de tout ce que la vie offre déjà et qu’on a tendance à zapper.

 
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