Cliquez sur ce bouton pour connaitre la méthode qui m’a permis de réussir ma crise existentielle et éviter de passer à côté de ma vie
Même la coque percée, on peut maintenir un bateau à flot un certain temps avec un bon seau et beaucoup d’énergie. Mais la seule vraie solution pour ne pas couler reste de reboucher le trou.
Si on veut vraiment résoudre un problème, on ne peut pas faire semblant. Une réparation de fortune ne tient jamais longtemps.
Pour sortir d’une crise existentielle, il faut impérativement en connaitre la cause profonde.
Dans cet article, je vais vous expliquer les trois causes possibles d’une crise existentielle, comment les reconnaître simplement, et je vous mettrai sur la voie de leurs solutions.
Vous pensez que vous êtes directement ou indirectement concerné(e) par une crise existentielle? Vous souhaitez en comprendre les mécanismes et surtout, apprendre comment en sortir gagnant? Cet article est fait pour vous.
Les 3 causes profondes d'une crise existentielle
Simon, Alicia & François ne se connaissent pas. Mais tous les trois ont répondu à une annonce qui disait:
Vous n’êtes plus heureux dans votre vie? Vous n’êtes pas seul! Séances de coaching en groupe chaque jeudi. La première est gratuite !
Jeudi, 20h30. Habitués et nouveaux venus rejoignent le cocon. Cet endroit chaleureux où l’on peut être vrai et partager avec le coach et le reste du groupe. On n’y entre qu’après avoir laissé jugements et idées préconçues sur le paillasson. On en sort généralement avec quelques véritables amis en plus.
Le son sourd d’une cloche tibétaine annonce le début de la séance. Chaque participant rejoint son fauteuil ou son coussin. D’un sourire, le coach invite doucement les nouveaux à se présenter au groupe.
Honneur aux dames. Alicia se lance:
« Bonsoir, je suis Alicia, je viens de fêter mes 40 ans. J’ai une vie très active. Depuis toujours. Je connais plein de monde. J’ai un super job qui m’apporte beaucoup et….me rapporte beaucoup. Mais depuis quelques temps, ma vie ne me satisfait plus. J’ai l’impression que quelque chose devrait changer et avec le temps, cela devient de plus en plus pressant….urgent! »
Vient le tour de Simon:
« Bonsoir, je suis Simon. J’ai 45 ans, je suis marié à une femme magnifique et j’ai 2 beaux enfants. J’ai un bon job grâce auquel je vis confortablement. En fait tout va bien…..et c’est justement pour ça que je suis là ce soir. Tout va bien dans ma vie et pourtant….je suis déprimé. De plus en plus déprimé. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je me sens perdu. J’ai peur de péter les plombs et de briser ce que j’ai de plus cher autour de moi.»
A François de conclure:
« Bonsoir, Je suis François. J’ai 62 ans. Honnêtement, je ne sais pas pourquoi je suis là ce soir. J’ai juste vu l’annonce et je m’en suis souvenu…comme par réflexe. Je n’attends rien de vous. J’en suis désolé. En fait, je n’attends rien de la vie. Plus maintenant. Tout m’ennuie, j’ai l’impression de tourner en rond sans but.»
Le coach: Pourquoi n’attendez-vous plus rien de la vie François?
François: Je suis philosophe. J’ai passé ma vie à lui chercher un sens. Il n’y en a pas. C’est comme ça..
Imaginez-vous maintenant à la place du coach. Que feriez-vous? Comment pensez-vous que vous les aideriez le mieux? Pensez-vous qu’une même solution puisse s’appliquer à ces trois cas?
Evidemment non. Ils souffrent bien tous les trois d’une crise existentielle mais qui puise son apparition dans des causes profondes différentes.
Voyons ensemble quelles-sont ces trois causes profondes de la crise existentielle.
Cause profonde 1: La crise existentielle liée au temps qui passe
Alicia a 40 ans, elle dit prendre de plus en plus conscience du temps qui passe. Elle ressent l’urgence de changer des choses dans sa vie. Elle dit qu’elle sent que sa vie ne lui convient plus. Ca l’angoisse et ça devient oppressant.
Alicia souffre d’une crise du temps qui passe.
Cette forme de crise prend sa source dans la peur de la mort.
Cette forme de crise arrive progressivement ou alors à la suite d’un événement fort. Un accident qui a manqué de mal tourner, la maladie, les faits marquants du vieillissement, la mort d’un proche ou d’un collègue du même âge.
Elle provoque une prise de conscience brutale de la finitude de la vie. Et du coup, on prend peur et profiter de la vie devient une sorte d’urgence.
Oui mais comment profiter de la vie au maximum?
On entend souvent nos anciens nous dire de profiter de la vie tant qu’on peut. Ok mais ça veut dire quoi au juste? Alors on angoisse. On s’en veut de ne pas savoir comment faire pour ne pas gâcher ce qui reste de la vie. On se met une pression monstrueuse et destructrice sur les épaules.
Certains se mettent à faire n’importe quoi. Souvent, ils font des dégâts autour d’eux.
D’autres s’enfoncent dans la déprime car ils butent sans cesse sur les mêmes questions:
- Que puis-je faire pour profiter au maximum de la vie?
- Que puis-je faire pour retenir le temps qui passe et rester jeune?
Quels-sont les symptômes d’une crise existentielle liée au temps qui passe?
Comment reconnaître cette crise existentielle?
Soyons honnêtes, nous avons tous plus ou moins peur de la mort. Il en va de même pour la peur de vieillir. Dites-moi qui se réjouit à l’idée de perdre progressivement toutes ses aptitudes ?
Est-ce que pour autant nous souffrons tous d’une crise existentielle? Je ne pense pas.
Tout est une question de mesure.
Si votre besoin de vivre et de profiter de la vie prend une telle place dans votre vie que vous voulez tout changer, que vous ne parvenez plus à trouver la paix dans votre vie existante….alors c’est que vous transformez votre peur de vieillir en une crise qui prend doucement le contrôle de votre existence.
Vous voulez en avoir le coeur net? Faites le test GRATUITEMENT pour savoir si vous, votre conjoint(e) ou votre ami(e) souffrez d’une crise existentielle liée au temps qui passe.
Quelles sont les solutions à la crise du temps qui passe?
Pouvons-nous éviter la mort? Bien-sûr que non.
C’est d’ailleurs bien mieux comme cela. Après tout, qu’est-ce qui rend la vie si belle si ce n’est son caractère unique et le fait qu’elle soit finie dans le temps. Vous ne pensez pas?
Personnellement, je souffre d’acouphène. J’entends en permanence des sifflements..
Je suis allé voir un spécialiste. Attention, pas n’importe lequel! Celui-là s’occupe des oreilles des pilotes de chasse de l’armée belge. Pas un manchot quoi.
Et vous savez ce qu’il m’a dit?
- Je souffre bien d’acouphène. Bon ok, voilà qui est dit.
Ca va empirer avec le temps. Glup…prends-toi ça dans les dents Thierry. - On n’en guérit pas. Ben voyons….
Bon, je lui ai quand-même demandé si il n’y avait vraiment pas quelque chose à faire. Histoire qu’il justifie ses honoraires.
Sa réponse: « Apprenez à vivre avec…..Modifiez votre normalité pour y intégrer ce bruit de fond….au bout d’un moment, vous n’y penserez plus et vous finirez par l’oublier ».
Et vous savez quoi? Il avait presque raison.
J’entends toujours ces sifflements mais disons que je les ai intégrés…c’est devenu normal..ça ne m’empêche pas de vivre et d’être heureux.
Par contre, j’ai pris conscience de la fragilité de mon ouïe. Alors depuis, je mets un casque de protection auditif dès que je travaille avec des machines ou quelque chose comme ça.
Quel rapport avec la crise du temps qui passe? Patience, j’y viens..
Voici en quelques points des solutions pour sortir gagnant d’une crise du temps qui passe:
- Acceptez l’idée de la mort et du vieillissement – Apprenez à vivre en paix avec vos peurs.
Accepter quelque chose n’est pas pour autant baisser les bras. Accepter la mort ne veut pas dire courir vers elle en faisant n’importe quoi. Et certainement pas se mettre à attendre que la mort arrive.
Quand vous prenez le volant de votre voiture et que vous croisez des gens sur une route qui roulent à 80 km/h comme vous…Ne pensez-vous pas que vous prenez le risque de mourir à la moindre distraction de votre part ou de l’autre chauffeur? Vous vous croisez à quoi…un bon mètre. Imaginez ce que donnerait le moindre écart…..
Vivre malgré les risques est quelque chose que nous faisons tous au quotidien…C’est tellement naturel que nous le faisons sans y penser.
L’idée, c’est de faire de même avec la mort. S’habituer à sa présence..à son aspect inévitable.
- Projetez-vous dans une vie d’âge mûre en vous efforçant d’y trouver des avantages.. Plus de temps, plus de sagesse, plus de calme, de sérénité … Ce que vous voulez du moment que vous parveniez à associer des éléments sincèrement positifs au fait de vieillir.
La projection répétée dans une situation qui fait peur nous amène progressivement à dompter notre peur de cette situation.
- Prenez soin de vous – Ok vous finirez par vieillir et mourir. Mais puisque vous le savez, autant que vous fassiez ce qu’il faut pour que ça arrive le plus tard possible non? Soignez votre physique par la pratique d’activités physiques variées ainsi que par une vie et une alimentation saine.
Prendre le plus de contrôle possible sur sa mort et son vieillissement. Que pouvons-nous faire de plus? Et vous verrez que cet art de vivre vous apportera bien plus qu’un simple réconfort.
- Reconnectez-vous à vous – Réapprenez à vous connaître. Prenez conscience de ce dont vous êtes capable et apprenez à vous aimer pour cela. Respectez-vous. Suivez votre propre évolution pour y déceler les changements rapidement et ensuite pouvoir vous y adapter. Soit pour accepter les changements qui s’opèrent car ils sont inévitables, soit pour corriger le tir quand c’est possible.
- Transformez votre peur en un moteur sur-puissant – Vous aurez besoin de force pour entamer toutes ces actions et vous pouvez aussi aller la chercher dans la peur qui nourrit votre crise.
La peur est un sentiment bien humain et vieux comme le monde. La peur est capable de nous rendre bien des services en nous protégeant du danger. Elle peut également être un moteur d’une puissance folle. Vous avez entendu ces histoires de personnes qui ont réussi à se sortir de très mauvaises situations car la peur leur avait donné des ailes non? Voir ma vidéo sur le sujet
Vous souhaitez plus d’aide concrète pour sortir au plus vite de cette crise alors je vous propose d’accéder à cette formation GRATUITE
Cause profonde 2: La crise existentielle de nature identitaire
Simon a bien rempli sa vie. Il aime sa femme et ses deux enfants. Il a une vie confortable pour laquelle il a probablement fait beaucoup de sacrifices.
Mais maintenant, sa vie semble ne plus lui convenir alors qu’il en est arrivé à un point où il a tout ce qu’il voulait. Et pourtant il n’est toujours pas épanoui. Alors il déprime car il ne sait pas quoi faire.
En fait, petit à petit, Simon a commencé à se sentir prisonnier d’une vie qu’il a construit patiemment mais qui semble ne pas être la sienne au final.
Dans ces cas-là, le réflexe est aussi souvent de se mettre à faire n’importe quoi. On pense que le problème c’est les autres. On pense que le problème c’est sa vie. On se positionne en victime. Alors soit on laisse tomber et on sombre dans la dépression. Soit, on change de vie.
Simon souffre d’une crise identitaire.
Il ne se reconnait plus dans sa vie. Alors qu’elle est comme il l’a voulue. Ou pas loin.
Relativiser et se convaincre que sa crise n’existe que dans sa tête n’est pas une solution. Ce ne serait que partie remise. Beaucoup font cette erreur.
Le seul moyen pour sortir gagnant d’une telle crise existentielle est de réellement s’interroger sur ce qu’on veut. La seule solution est de rapprocher sa vie de ce qu’elle doit être pour être parfaitement alignée sur qui on est vraiment.
Il va falloir changer des choses. Oui mais lesquelles et pourquoi? Comment être certain? Voilà les vraies questions auxquelles il est difficile de trouver des réponses si on ne sait plus qui on est et ce dont on a besoin.
Quels-sont les symptômes d’une crise existentielle de nature identitaire?
Comment savoir si vous êtes concerné(e) par ce genre de crise?
J’ai personnellement connu cette crise et le début de ma solution m’est apparue le jour où je me suis posé cette question fondamentale à laquelle je ne savais pas répondre:
Si j’avais tout l’argent, le temps et les moyens du monde à ma disposition, qu’est-ce que j’en ferais pour être vraiment heureux(se)?
C’est radical! Si vous, votre conjoint(e) ou votre ami(e) ne peut pas trouver de réponse évidente à cette question fondamentale alors il y a de très fortes chances que ce soit une crise existentielle de type identitaire.
Faites-le test. Posez-vous cette question fondamentale et essayez d’y trouver une véritable réponse. Une réponse qui vous remplit de joie et de paix.
Quelles-sont les solutions à la crise existentielle de nature identitaire ?
Que ce soit clair, celui ou celle qui souffre d’une crise identitaire doit chercher en lui/elle ses solutions.
Ce n’est pas quelque chose qui se délègue. Les solutions sont en celui/celle qui souffre de la crise.
Autre chose, n’essayez pas de recopier les solutions des autres…..c’est clair, ça ne fonctionnera pas.
Par contre, vous pouvez vous faire aider. Si vous voulez aller plus vite et surtout moins risquer de vous tromper en route, je vous conseille de faire appel à un guide.
Par exemple un psy qui a déjà appliqué le processus permettant au « souffrant » de trouver ses solutions à maintes reprises.
Ou alors à un guide qui est lui-même passé par une crise et qui en est sorti gagnant…et puis, qui a appris comment aider les autres à s’en sortir à leur tour. Vous me voyez venir…un gars comme moi quoi.
D’ailleurs si ça vous intéresse, voici le lien pour en savoir plus sur le SelfExplorer©. Une magnifique aventure que j’ai créée sur base de ma propre expérience pour aider ceux qui souffrent d’une crise identitaire à en sortir gagnant et à comprendre précisément ce qu’ils doivent changer dans leur vie pour s’épanouir. Toutes les informations sont là: Lien
Au final, quelle que soit la démarche choisie, ce ne sera pas facile et les choses ne s’arrangeront pas du jour au lendemain. Celui qui vous dira le contraire est un charlatan.
Par contre, quelle que soit la démarche choisie, elle devra appliquer les solutions suivantes:
- Acceptez votre crise. Ne la combattez pas et admettez-en les effets quels qu’ils soient car c’est en apprenant à la connaître que vous saurez comment vous sortir de votre crise.
Ma vidéo pour mieux comprendre ce qu’est l’acceptation et pourquoi c’est fondamental
- Ne vous jugez pas. Vous n’avez rien fait de mal. Ce que vous vivez est normal et c’est une chance que vous en soyez là. Cela veut dire que vous évoluez dans le bon sens.
- N’attendez pas que ça passe tout seul. Ca ne passera pas tout seul !
- Le plus important: Questionnez-vous! Soyez lucide et honnête dans vos raisonnements.
- Listez les questions que vous vous posez :
« De quoi ai-je envie ou besoin ? J’ai des envies de quitter mon conjoint. Pourquoi ? Est-ce lui ou notre couple la raison de ma crise ? Quelles-sont mes valeurs profondes et est-ce que je mène une vie qui respecte ces valeurs ? »
( Ma vidéo sur la mécanique des besoins ici )
- Laissez le passé au passé. Concentrez-vous sur le présent immédiat. Il vous enseignera qui vous êtes et ce qu’il vous faut.
- Ne vous laissez pas emporter par votre envie de tout résoudre tout de suite. Donnez-vous le temps et les conditions pour laisser venir à vous les solutions.
- Entourez-vous. Trouvez les mots pour expliquer ce que vous traversez à vos proches et demandez leur aide.
Ils vous aideront à créer les bonnes conditions autour de vous et vous aideront à vous retrouver car ils vous renverront une image de qui vous êtes plus fidèle que celle que vous avez de vous-même.
- Arrêtez de vouloir tout contrôler. Combattez vos peurs. Sortez de votre zone de confort. C’est en faisant cela que vous apprendrez à vous connaître mieux.
- Passez un maximum de temps avec vous seul. Veillez à vous aménager du temps et des conditions idéales pour vous recentrer et mener à bien les réflexions que vous devez mener.
- Utilisez le passé, non pas pour le regretter mais pour comprendre ce dont vous avez besoin ou ce que vous ne voulez plus.
- Ne filtrez plus vos émotions. Apprenez plutôt à les reconnaître et à les utiliser pour vous guider. Les émotions sont le vocabulaire de l’âme.
Si vous faites bien tout cela, alors vous réapprendrez à vous connaître et le reste viendra tout seul. Une fois en mouvement sur cette piste, vous ressentirez déjà les bienfaits. Vous vous sentirez déjà mieux.
Vous souhaitez que je vous aide dans ce parcours que j’ai fait avant vous alors je vous propose d’accéder à cette formation GRATUITE:
Si malgré cet article, vous n’êtes pas encore certain(e) du type de crise existentielle par laquelle vous êtes concerné(e) alors je vous invite à faire ce test GRATUIT:
Cause profonde 3: La crise existentielle du désenchantement
François a déjà bien vécu semble-t’il. Il dit ne plus avoir d’attentes. Il dit avoir longtemps cherché le sens de la vie sans succès. Il pense que la vie ne sert à rien alors à quoi bon la vivre..
François vit dans la croyance que la vie ne peut être belle que si elle a un sens. Donc, s’il ne peut trouver un sens à sa vie, sa croyance lui souffle que sa vie n’est pas belle. Il est découragé et a décidé de laisser tomber. Il déprime et ça peut aller loin.
François souffre d’une crise du désenchantement. On l’appelle aussi la crise de la désillusion.
Le problème c’est qu’au plus François déprime, au moins il est capable de relever le nez pour se remettre en question et profiter des cadeaux de la vie. C’est un cercle vicieux. Et pour le briser, il faut s’attaquer aux croyances de François.
Quels-sont les symptômes d’une crise existentielle du désenchantement?
Comment savoir si vous êtes concerné(e) par cette nature de crise?
Le plus souvent, les gens qui souffrent de cette nature de crise sont persuadés que les choses doivent avoir un sens pour valoir la peine d’être vécues.
Ils veulent savoir où ils vont pour pouvoir se mettre en mouvement.
Pas d’objectif. Alors on ne bouge pas!
La question du sens de la vie est une question que l’humanité se pose depuis toujours. Mais pour certains, il semble très difficile de pouvoir profiter de la vie sans trouver de réponse à cette question. Alors ils cherchent.
Certains trouvent quelque chose auquel se raccrocher et vont mieux. D’autres cherchent toujours et attendent de l’avoir trouvé pour être heureux.
Faites-vous partie de ceux qui cherchent un sens à leur vie sans le trouver?
Multipliez-vous les expériences de vie sans pour autant qu’elles n’apportent de réponses à vos questions existentielles ?
Si oui, alors il est possible que vous soyez touché par une crise du désenchantement.
Vous voulez en avoir le coeur net? Faites le test GRATUITEMENT pour savoir si vous, votre conjoint(e) ou votre ami(e) souffrez d’une crise existentielle du type crise du désenchantement.
Quelles-sont les solutions à la crise du désenchantement ?
C’est simple – enfin, façon de parler – ouvrez votre grand livre identitaire à la page des croyances; cherchez-y la croyance limitante qui vous dicte qu’une vie heureuse doit avoir un sens et……..effacez-la!
Un jour j’ai entendu un sage dire:
« Ne serait-il pas merveilleux que la vie n’aie pas de sens? Ainsi on pourrait vivre comme bon nous semble en étant simplement heureux.. »
Je crois pour ma part qu’il est possible que la vie n’aie pas de sens. Et cette simple possibilité ouvre en moi une petite porte au travers de laquelle je vois la lumière d’une vie simple et heureuse….juste là…disponible. Il n’y a qu’à ouvrir la porte en grand.
Mais non, nous vivons dans une société où on a besoin de voir et de comprendre les choses pour y croire. On veut du sens. On veut avoir trouvé la réponse à sa question existentielle numéro 1: Quel-est le sens de ma vie? Sinon, pas de véritable bonheur possible.
Cette question qui se pose depuis toujours doit avoir une raison d’être sinon pourquoi est-ce qu’on se la poserait depuis si longtemps? N’est-ce pas?
Pourtant ce n’est qu’une question. Et jusqu’à preuve du contraire, personne n’a été capable de prouver qu’il a trouvé LA bonne réponse.
Laissez-moi à mon tour vous poser une autre question: Pensez-vous qu’il soit possible de vivre une vie heureuse et épanouissante alors qu’elle n’a pas de sens?
J’imagine bien que ça doit frotter dans votre esprit là…c’est bien normal. Avec cette nouvelle question, on s’attaque directement à l’une des croyances les plus vieilles et les plus partagées du monde.
Et pourtant, en quoi est-ce que cette question aurait moins de valeur que l’autre?
Faites vivre cette nouvelle question, cette autre possibilité dans votre esprit et alors, un nouvel équilibre formé par ces deux questions qui se disputent se formera en vous et vous connaîtrez la paix.
Vous pourrez alors vous éveiller à tous les plaisirs de la vie et au bonheur simple d’en profiter.
Il existe plein de moyens pour ré-enchanter votre vie.
Soyez curieux.
Vous souhaitez plus d’aide concrète pour sortir au plus vite de cette crise alors je vous propose d’accéder à cette formation GRATUITE:
Dites moi si vous avez aimé cet article en me laissant un commentaire.
Vous pouvez en savoir beaucoup plus sur la crise existentielle et comment j’en suis sortis grandi et heureux si vous téléchargez GRATUITEMENT le guide
Je réussis ma crise existentielle
Apprenez en 60 pages ce que j’ai mis des années à comprendre…